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un comité français pour la route blanche naît en 1937 à Dijon... il est suivi par la création, le 7 mars 1958 d'une association de promotion de la N5. Les deux initiatives n'auront hélas que peu d'impact sur la fréquentation d'un axe réputé difficile pour les camions et autocars. Source: Le tout Dijon, Jean-François Bazin (éditions Cléa).

Neuvième étape: Dijon-Dole
KM 317: SORTIE AVEC VUE SUR MONT BLANC
On quitte la belle cité de Dijon avec quelques regrets. C'est une ville qui ne se laisse pas découvrir du premier coup. Donc, on y revient... Forcément! La route blanche s'extrait de la cité des ducs de Bourgogne par la longue rue d'Auxonne et par l'avenue du Mont-Blanc. Déjà la tête dans les nuages? ATTENTION, bifurcation: en cliquant sur l'image ci-dessous vous continuez la découverte de l'histoire de la route blanche au fil des ans. En cliquant sur les images plus bas, vous poursuivez au-delà de Dijon le voyage en images jusqu'aux monts jurassiens...

La place Wilson nous laisse entrevoir de belles échappées sur le cours Général-de-Gaulle qui emmène le promeneur jusqu'au parc de la Colombière. (Photo: Marc Verney, octobre 2005). ATTENTION, en cliquant sur cette image vous quittez le voyage en photos et vous entrez sur les pages de l'histoire de la R.N.5.


A gauche, photographié sous une pluie battante en avril 2006, ce panneau indicateur situé rue d'Auxonne à Dijon garde la trace de la N5. A droite, l'avenue du Mont-Blanc déroule son ruban d'asphalte tout droit jusqu'aux portes de la ville (Photos: Marc Verney, avr. 2006 et mars 2006). ATTENTION: en cliquant sur ces photos, vous poursuivez le voyage en images...